L'auberge

Elle enta sans trop de bruit dans l'auberge. D'un pas leger et un sourire envoutant au lèvres elle s'adresse à l'aubergiste, qui la fixait, lui, sans sourire.-Bonjour Monsieur, je voudrais une chambre, s'il vous plaît.
-Pour combien de jours, lui demanda l'aubergiste de sa voix rauque-Aucune idée, je n'ai pa encore decidé, c'est possible d'en avoir un à durer indeterminée?
-D'habitude non, mais bon, je n'ai pas beaucoup de client e vais vous faire une fleur
-Merci beaucoup monsieur l'aubergiste, dit-elle avec un énorme sourire
L'aubergiste sorti un gros cahier sur lequel il nota le nom de Yuka, et lui tendit une clef en lui donnant des consignes à respceter. Après avoir acquiessé gentillement à toutes les paroles du vieil homme, elle resorti de l'auberge et se dirigea enfin vers le marcher.

Après avoir parcouru deux jours au galop grâce à un cheval qu'il avait emprûnté, il arriva dans la ville ou il devait faire le meurtre. Il restait caché sous sa capuche, ne dévoilant son visage à quiconque. Il entra dans l'auberge, et, d'une voix rauque remplit de menace et de mal, il demanda à l'aubergiste:

"Vous auriez une chambre pour moi?
- Pour combien de jours?" *la voix était toute fluète*
"Peu importe combien de jours!! Vous avez une chambre oui ou non?
-Cela dépend car les chambres sont assez rare et les prix sont assez élevés.

*L'aubergiste disait tous les argument pour que cet être se rentre pas dans cette auberge.*

"Eh je crois avoir les moyens de payer alors vous avez une chambre?? *la voix de l'elfe noir commençait à gronder.*

"Oui oui cela vous fera 120 pièces d'or la nuit. *El Rhan lança une bourse à l'humain, arracha la clé aux doigts boudinés de l'homme et alla directement dans la chambre...*

El Rhan Dhur fit une halte à l'auberge pour reprendre ses effets personnels. L'aubergiste voulut intervenir sur l'entrée pressé de l'elfe noir, mais celui ci lança un couteau dans la gorge de l'aubergiste sans même lui daigner un regard. Il monta les marches quatre par quatre, prit ses affaires, il s'enfuit par la fenêtre.

Dehors les gardes s'étaient affairés autour du forgeron sans tête, il entendait des gens hurler, ils ne tarderaient pas à faire de même pour ce pauvre fou d'aubergiste humain.
Une lettre était déposé sur le comptoir de l'aubergiste, s'adressant aux autorités de la ville:

Vendui humains,
Comme vous pouvez le voir, votre ville semble quasi inexistante en sécurité, deux morts, aucune interventions rapides, je me ferais joie de revenir en ces lieux, les victimes sont faciles à tuer, je crois même que je pourrais en tuer dix d'affilés que vous ne direz rien.
Je vous remercie chaleureusement pour cet accueil, au plaisir de ravoir affaire avec vous.

aucune signature, mais la lettre était mal écrite et les mots avaient une couleur rouge et une odeur de sang. Le corps de l'aubergiste était largement mutilé.

La nuit commençait à tomber, et déjà El RhanDhur était sortis de la ville. On pouvait désormais entendre un nouvel hurlement, provenant de l'auberge